Diderot, le comédien et la société du spectacle
Le premier des paradoxes, ce n’est pas celui du comédien qui n’est vraiment grand qu’à jouer froidement et « d’imitation » plutôt que « de nature » ; ce n’est pas le fait que le grand comédien soit « un spectateur froid et tranquille » de la comédie ou de la (...)