Lorsqu’a éclaté il y a quelques semaines l’ « affaire Mitterrand », lancée et entretenue par une coalition hétéroclite de hyènes du Front national et de chacals du PS, j’ai eu le sentiment qu’il y avait là un rideau de fumée ou, si l’on veut, de souvenir écran : en effet, la question de savoir si l’actuel (...)