L’amnésie et la peur à Rennes comme ailleurs
Suite aux événements récents survenus à Rennes, plusieurs universitaires se penchent sur le degré de répression et de criminalisation du mouvement contre la loi « travail(le) » et dénoncent le fait qu’aujourd’hui « notre République, si fière de ses libertés, repose désormais un peu plus chaque jour sur la surveillance, la répression et l’enfermement de prisonniers politiques ».