Pour un moratoire sur l’Islam

, par Cédric Cagnat


Je préconise un moratoire sur les questions islamiques d’une durée d’au moins cinq ans pendant laquelle TOUS les « journalistes » et éditorialistes de ce pays agonisant qu’est la france [1] iraient étudier dans une madrassa de leur choix les rudiments de la religion qui les hante et les obsède.

Ils y apprendraient, entre autres choses, dès la première leçon, qu’il n’est pas de pratiques plus ANTI-ISLAMIQUES que celles qui relèvent de la magie, de l’exorcisme ou de la sorcellerie (Shur). Car elles contredisent frontalement le monothéisme strict et la conception du Dieu SÉPARÉ propres à l’Islam, tels qu’ils s’expriment avec la plus grande clarté dans la Fatiha, première Sourate du Qur’an, aussi fondamentale pour la foi islamique que l’est le Pater Noster pour la foi chrétienne :

C’est Toi SEUL que nous adorons, et c’est de Toi SEUL que nous implorons secours (I,5)

Qui a recours, dans la résolution de problématiques d’ordre spirituel, à un mage, un sorcier, un exorciste ou tout autre autorité prétendant se substituer à la toute-puissance miséricordieuse de Dieu, se rend donc coupable d’associationnisme (Shirk) et s’exclut de fait et immédiatement de la communauté des croyants.

Le degré d’ignorance hallucinant qu’exhibent quotidiennement « nos élites » médiatiques monomaniaques, assistées de leurs petites mains payées à la pige, ne peut plus seulement être considéré comme un fait de vulgaire manipulation, ni comme le résultat d’un aveuglement volontaire. Il est l’expression de la paralysie cognitive propre aux organismes en cours de décomposition (Alhamdulillah !) ; étant entendu que celles et ceux qui, se laissant abuser par ces radotages abjects, les relaient sans examen, participent de la même décrépitude morale et intellectuelle.

En attendant, donc, le Grand Remplacement qui, après s’être fait tant désirer, viendra nettoyer cette fange identitaire et patriotarde, plus que jamais :

Achahadou an lâ ilâha illa Allah wa achahadou ana Muhammadan rasûlu Allah

Notes

[1Oui, c’est fait exprès