C’est la faute à Rousseau (2/2)
Plus s’éloigne toute perspective de publication du Dix-huitième (comme de tout autre texte, d’ailleurs), et plus Klemperer s’y attache et s’y investit : « J’aime de plus en plus mon Dix-huitième ». Ceci au moment où une bibliothécaire, juive elle-même, lui apprend que ses livres viennent d’être retirés de la salle de lecture de la bibliothèque... Aller jusqu’au bout de la (...)
Des cigarettes et des chats – comment se maintenir en vie
Klemperer et sa femme, Eva, ne peuvent pas vivre sans fumer. Alors, quand les pénuries et les restrictions leur rendent impossible l’accès au tabac, ils fument n’importe quoi – des feuilles de mûrier, des mégots, des cigares infâmes, ils se (...)